2012
À la suite d’actes de vandalisme répétés en 2012, les collectivités territoriales décident de créer autour de la ville de Metz un syndicat mixte destiné à protéger et mettre en valeur le lieu de mémoire du fort de Queuleu.
2016
Le 9 mai 2016, Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense chargé des Anciens combattants et de la Mémoire, a signé une convention pour la réhabilitation partielle du fort de Queuleu (Casemate A/Caserne II) et du pavillon d’accueil. L’État et les collectivités locales (ville de Metz, Metz Métropole, département de la Moselle et région Grand Est) ont tenu à se mobiliser pour la préservation de cet important lieu de la mémoire mosellane en investissant un million d’euros.
Ainsi, la convention pour la réhabilitation partielle du fort confiée par l’État, propriétaire du site, à la communauté d’agglomération de Metz-Métropole pour une durée de 4 ans, impliquera la création d’un centre d’interprétation permettant une valorisation mémorielle, éducative et culturelle.
Le projet de réhabilitation, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par Metz Métropole est financé par quatre partenaires :
-la ville de Metz à hauteur de 250 000 €,
-le département de la Moselle à hauteur de 250 000 €,
-la région Grand Est à hauteur de 250 000 €, et
-l’Etat, à travers le Ministère des Armées à hauteur de 250 000 €.
2017
En 2017, une étude scientifique, historique et architecturale a été menée par l’Atelier Lab (Christophe Lab et Cécile Courtey, architectes).
2019-2020
En 2019-2020, un avant-projet a été élaboré par le Cabinet Alma (Laurent Manonviller, architecte du patrimoine). Des sondages de repérage ont également été réalisés afin de mieux appréhender la couverture.
2021
Le 4 février 2021, les travaux de réhabilitation partielle sont entrés dans leur phase opérationnelle. Attendus depuis la fin des années 1990, ils se poursuivront tout au long de l’année 2021. Les travaux permettront la mise hors d’eau d’une partie de la CasemateA/Caserne II.